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Un article publié 3 janvier dans le Sunday Times révèle les conclusions d’une étude britannique selon laquelle le point G n’existerait pas.

L’idée d’un point G féminin a été popularisée par le professeur américain Beverly Whipple dans les années 1950. Le point G est depuis présenté comme un endroit particulièrement érogène et mystérieux.

Pour rappel, le point G désigne une zone érogène sur la face antérieure du vagin, et dont la stimulation peut provoquer une excitation sexuelle intense.

Mais son existence réelle est depuis le début l’objet de vifs débats parmi les scientifiques.

Le point G, cet endroit qui assurerait le maximum de plaisir aux femmes, n’existerait pas, selon les résultats de l’étude menée par des scientifiques du King’s College de Londres.

L’enquête réalisée par les chercheurs est considérable. Près de 1.800 femmes britanniques ont été interrogé.

« C’est de loin la plus grande enquête menée sur ce sujet, et celle-ci montre clairement que l’existence d’un point G est totalement subjective », explique le Pr Tim Spector (cf : le site 7sur7).

La reine Elisabeth a elle répondu à cette enquête ? Peu de chances … Mais la polémique autour du point G ne semble cependant pas prête de s’éteindre.

Selon le professeur Whipple, l’étude britannique ne serait pas fiable. Whipple explique par exemple que les chercheurs n’ont interrogé aucune femme lesbienne (toujours selon le site 7sur7).

Par SO Flirt

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